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Étape 1 – Blocage de l’adénosine

 

La caféine imite la structure de l’adénosine, une molécule qui signale la fatigue au cerveau. Elle se fixe sur ses récepteurs sans les activer, empêchant ainsi le cerveau de “sentir” qu’il est fatigué.

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Étape 2 – Libération de stimulants

En bloquant l’adénosine, la caféine permet une hausse de l’activité neuronale. Cela stimule la libération d’adrénaline, de dopamine et d’autres neurotransmetteurs qui augmentent la vigilance, la concentration et la fréquence cardiaque.

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Étape 3 – Effet rebond et dépendance

Quand la caféine disparaît, l’adénosine refoulée revient en force, provoquant une forte sensation de fatigue. À long terme, le cerveau s’adapte en créant plus de récepteurs, ce qui augmente la tolérance et entretient le besoin de consommer.

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